7, 2011 – François-Xavier Roth – SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg Prise de son un peu lointaine, beau début, ensuite c’est assez apathique et sans grand relief. Enfin, j’aime également la version de Hengelbrock, qui permet encore d’entendre une version « Poème en forme de symphonie ». On trouvera plus loin les Commentaires d'Henry-Louis de La Grange sur la Première Symphonie. 2007 Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks Un peu froid à mon goût (qui n'ai jamais aimé Stravinsky par Boulez)Je pense que Boulez bat sa mesure à 1 temps et retient l'orchestre tout le temps. Henry-Louis de La Grange commença ses activités de critique musical en 1952, en écrivant des articles pour le New York Herald Tribune et le New York Times, ainsi que les magazines Opera News, Saturday Review, Musical America, et Opus aux États-Unis, et Arts, Disques, La Revue Musicale, et Harmonie en France. Mahler rejoue sa symphonie à intervalles irréguliers jusqu'à sa mort. Retour aux sources. Wie ein Naturlaut — Im Anfang sehr gemächlich, Kräftig bewegt, doch nicht zu schnell — Trio. Vous aussi participez à la Tribune des critiques et gagnez le disque France Musique de la semaine ! 1989 Christoph Von Dohnanyi – Cleveland Orchestra Trio rêveur mais vivant. 2014 Markus Poschner – Bremer Philharmoniker 8,5, 1969 – Eugene Ormandy – Philadelphia orchestra 1981 Claudio Abbado – Chicago Symphony Orchestra De ce dernier, pas moins de six versions publiées, dont, en priorité, un " live " à la Radio de Bavière en 1965 (EMI) et la version studio bien connue de 1962 avec le Philharmonia (EMI) qui nous servira d'étalon historique pour notre écoute. 5, 1981 – Leonard Slatkin – Saint-Louis Symphony Orchestra Lire la suite Clément D. Disquaire Fnac.com 22/10/2021 . Anne-Sofie von Otter, mezzo-soprano. 1990 Vladimir Fedosseyev – USSR Radio and Television Symphony Orchestra Prise de son manquant de présence parfois, tempo lent, de beaux timbres, des intentions expressives, mais on s’ennuie ferme. 9, 1961 – Paul Kletzki – Wiener Philharmoniker 5, 1954 – Paul Kletzki – Israel Philharmonic Orchestra Tempo allant, trompettes trop présentes : c’est quand même ppp. 7, 2016 – Toshiyuki Kamioka – New Japan Philharmonic Composée en 1888, la symphonie est entièrement remaniée d'abord en 1893, puis en 1897 et plus en détail jusqu'en 1903. Grand son, beaucoup de puissance, plus de 65 ans plus tard, toujours une des meilleures versions ! Manque de présence sonore, timbres fruités (on entend distinctement les 2 lignes de cor au chiffre 3). 1954 - Rafael Kubelík - Wiener Philharmoniker Cordes chantantes, peut-être manquant de puissance, des rythmes marqués comme on aime dans Mahler. 1967 Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks Soudain, un thème presque vulgaire (aux trompettes)[17], issu des danses de cabarets[18] (qui « ont scandalisé les auditeurs de l'époque »)[1], est joué Mit parodie (« avec parodie »)[19],[20] par un petit orchestre, aux sonorités étranges : c'est la musique d'un mariage juif. La maturité venue et la collaboration avec l'Orchestre Philharmonique de Berlin touchant à sa fin, le chef italien a souhaité nous laisser sa vision des Symphonies n° 3, 7 et 9 de Mahler. Elle se présente désormais sous la forme d’une grande symphonie d’une cinquantaine de minutes, divisée en quatre mouvements. Trés belle version quand même. Lecture propre, ça déroule tranquillement. Wie ein Naturlaut (Lent. 1962 – Erich Leinsdorf – Boston Symphony orchestra 1985 Eliahu Inbal – Radio Sinfonie Orchester Frankfurt Dans le rythme d’un ländler influencé par Franz Schubert[14] dans les parties extrêmes et celle de Bruckner[15] dans l’ostinato du trio central. Étonnant d’ambiance quand on vient d’écouter Kegel… trompettes vraiment lointaines. 1989 Edo De Waart – Minnesota Orchestra Item Title Tr125 Walter/Mahler Symphony No. Excellente prise de son, chaque intervention soliste est un régal. 2016 Toshiyuki Kamioka – New Japan Philharmonic 7, 2016 (?) Début impressionnant, léger manque de tension à la fin du 5. , Jakub Hrůša à Bamberg la met avec pertinence en regard de deux œuvres courtes dues l'une au maître de Rott, Anton Bruckner, l'autre à son condisciple et ami Mahler.. Hans Rott, élève très aimé de son maître Anton Bruckner, ami et condisciple de . Timbres orchestraux assez pâles, c’est assez inconsistant à partir du n° 4. Retenons également la violence de Dimitri Mitropoulos (il . 1964 Willem Van Otterloo – Wiener Festpiele Orchester Les trompettes sont vraiment ppp car sans doute jouées en coulisse. 1969 Kirill Kondrachine – Moscow Philharmonic Orchestra Quand je dis à des compositeurs qui ont collaboré avec eux que je n’ai jamais rien entendu de saillant par Chung par exemple, ils me regardent de travers… D’immenses musiciens pour sûr, mais bon… HC, 1942 – Bruno Walter – New York Philharmonic Symphony Orchestra Shop by category. 1974 Zubin Mehta – Israel Philharmonic Orchestra Début correct, violons manquant d’impact, c’est assez plat. On n’entend pas grand chose. Le grand « vainqueur » de notre discographie du Sacre. J’ai encore dû quitter Qobuz pour Spotify… Cordes ppp, on est un peu dans l’allusion, la reprise est variée mais moins bien que le premier énoncé, c’est un peu du « tout-venant ». Schleppend. La liste des versions (manque par exemple Svetlanov): 1939 Bruno Walter – NBC Symphony Orchestra Cela sent le studio, c’est un peu fondu et fade. 8’30″… Cela laisse le temps de détailler les interventions, mais ça manque de nerf, trio rêveur mais un peu languissant. On a l’impression d’entendre plusieurs contrebasses au début.. Une bonne lecture, mais guère prenante. 1990 Armin Jordan – Orchestre de la Suisse romande On en est à au moins 269 versions discographiques (studio et concert sans compter les DVD…) et on a accès à plus de 90, y compris la dernière en date, celle du wonderboy Nézet-Séguin. 1979 Herbert Kegel – Dresdner Philharmonie 7,5, 2006 – David Zinman – Tonhalle Orchester Zürich Bois épatants, souplesse melliflue de l’orchestre, quelques passages un peu prosaïques (prise de son un peu dure), fin un peu appuyée mais très enlevée. Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Depuis la première version d'Adrian Boult avec Kathleen Ferrier (1947, Testament), une centaine d'interprétations ont été recensées, dont moins d'une dizaine en monophonie. La deuxième intégrale Bernstein, pour DG. Mahler écrit sa « Neuvième Symphonie » comme un testament : dans cette somme tragique, il récapitule sa vie, portant les moyens expressifs à leurs limites. 2003 Gabriel Chmura – Narodowa Orkiestra Symfoniczna Polskiego Radia Katowice McCracken n’est peut-être pas, vocalement parlant, LE Waldemar de la discographie, mais il met une impatience, une urgence, une tragédie dans son rôle qui fait de lui le plus crédible de la discographie. Il est entre autres actuellement directeur associé à l’Orchestre de Paris. Tempo allant, mais jouer doux et léger ne fait pas une interprétation… 7, 2008 – Zdenek Macal – Czech Philharmonic Tiré de Wikipédia, un passage de sa biographie : Mahler – Symphonie n°1 – Écoutes comparées. 6, 2004 – Roger Norrington – Radio Sinfonieorchester Stuttgart des SWR Voir le plan de la salle. C’est la « Hamburg Version 1893 », attention… Les cordes au début sont effectivement ppp, les trompettes en coulisse sonnent comme des trombones, on n’entend pas grand chose puis tout d’un coup un solo de clarinette envahit tout l’espace. On ne gardera pour la suite « que » les 14 versions suivantes : 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker 1980 Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks Ce mouvement plus particulièrement montre ce que Mahler « doit à Berlioz et à Liszt »[1]. Une bonne version, mais qui manque un peu de tesnion et de relief. Cette mélodie intitulée « Ce matin je suis allé à travers champs » restitue immédiatement le temps suspendu de l’introduction et détend l’atmosphère. Ses six mouvements restituent une nature. À cette époque, Mahler, âgé de 28 ans, est un chef d'orchestre très apprécié, assistant d'Arthur Nikisch à l'Opéra de Leipzig. 1951 Dimitri Mitropoulos – New York Philharmonic Comme un bruit de nature)14:19 : 2eme mouvement Scherzo. Je ferai une sélection finale après l’écoute des mouvements 2 & 3. 2016 (?) Sa carrière lui laisse peu de temps libre, et seules les vacances d'été lui permettent vraiment de composer ses symphonies. 1994 Yuri Simonov – Royal Philharmonic Orchestra La symphonie romantique naît sous la plume de Beethoven. Suis dans les 2 & 3e mouvements, je vais écouter de nouveau Steinberg, peut-être un moment d’égarement ? – Vladimir Suk – Ukrainian Festival Orchestra Début apathique, après cela s’anime un peu, le passage central fait très cortège funèbre, anticipant le 3e mouvement, mais ensuite on manque parfois d’accents ; une version plus rêveuse que tonique. Pour une discographie exhaustive, consulter cette page : [2]. Ecoutez « Mit Toves Stimme flüstert der Wald » par McCracken, puis écoutez-le dans la version d’inbal, justement, qui avait été bien reçue par la critique. C’est très beau dans l’ensemble, un ou rallentando intempestifs, on s’ennuie . 1958 Adrian Boult – London Philharmonic Orchestra La symphonie, qui selon Mahler doit provoquer chez autrui « mainte raison d'étonnement », ne parvient à être jouée nulle part. 1980 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks On reste toujours attaché à cette symphonie : malgré ses ficelles, sa fraîcheur étonne toujours et surtout captive. 90 (MWV N 16) Italienne Genre Symphonie Nb. 8, 1986 – Lorin Maazel – Wiener Philharmoniker, 1987 – Leonard Bernstein – Concertgebouw 2006 David Zinman – Tonhalle Orchester Zürich , qui nous propose sur ce disque, F-X.Roth et son orchestre Les Siècles. 1954 – Rafael Kubelík – Wiener Philharmoniker 1987 Seiji Ozawa Boston – Symphony Orchestra 1981 – Claudio Abbado – Chicago Symphony Orchestra 1956 Rafael Kubelik – Orchestra Sinfonica di Torino della RAI Les champs obligatoires sont indiqués avec *. 1954 Rafael Kubelik – Wiener Philharmoniker 7, 1991 – Libor Pesek – Royal Liverpool Philharmonic Orchestra La première exécution complète eut lieu le 9 juin 1902 par l' Orchestre du Gürzenich de Cologne dirigé par Gustav Mahler lui-même avec un plus net succès. 1961 Hans Rosbaud – Sinfonieorchester des Südwestfunks Baden-Baden Le chef italien Claudio Abbado est d'une clarté d'expression et d'un allant impressionnants. 6, 1964 – Willem Van Otterloo – Wiener Festpiele Orchester 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker Balance curieuse, genre un coup je t’entends, un coup je t’entends plus, assez extérieur. Tout sonne un peu mou, manque de caractérisation, on dirait du Lehar. 7,5, 1989 – Giuseppe Sinopoli – Philharmonia Orchestra 2006 Mariss Jansons – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam Peut-être moins caractérisé que Kubelik ou Horenstein, c’est mené par les cordes, c’est virtuose, peut-être un peu trop avant le trio qui se termine de façon un peu superficielle, mais une bonne version dans l’ensemble. À cette époque, Mahler, âgé de 28 ans, est un chef d'orchestre très apprécié, assistant d' Arthur Nikisch à l'Opéra de Leipzig. 2007 – Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks 6, 2010 – Vladimir Ashkenazy – Sydney Symphony Orchestra Traînant. 1989 – Claudio Abbado – Berliner Philharmoniker 1993 – Michel Halasz – Polish National Radio Symphony Orchestra Tempo assez allant, pourquoi à partir du n°3 entend-on encore les interventions des vents comme dans un brouillard ? CD 1 Première partie : 1 . 1972 Bernard Haitink – Concertgebouw Superbe début, on croit entendre en prémonition le tempo du 3e mouvement, après c’est un peu plus nonchalant ; triangle, harpe et grosse caisse très présents. L'essentiel du corpus Mahlérien est naturellement constitué de ses symphonies. Tempo lent, public très bruyant, quelques pains, encore un document, lecture plus dramatique que poétique. souvent haï dans ses dernières années par la critique française, notamment dans Mahler. Comment négliger la merveilleuse version Ancerl, certainement la plus poétique avec Kubelík, et dans ce cas, son orchestre est absolument parfait ! Standard 45,98 € CD album Ed. Le 05/07/2023 à 00h00. 1971 Erich Leinsdorf – Royal Philharmonic Orchestra 1998 Manfred Honeck – BBC Symphony Orchestra C’est de fait très vivant mais on cherche « Mit Parodie » au n° 6… Les indications dynamiques ne sont pas toujours respectées, mais c’est assez prenant. 7, 2000 – Zubin Mehta – Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino, 2000 – Fabio Luisi – Sinfonieorchester des Mitteldeutschen Rundfunks (Vienna symphoniker ?) 8,5, 2005 (?) Les timbres manquent de relief, mais c’est léger, animé. Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Petits Chanteurs de Vienne Chef de Choeur : Gérald Wirth. 1974 Maurice Abravanel – Utah Symphony Orchestra 7,5, 1989 – Claudio Abbado – Berliner Philharmoniker 1986 Lorin Maazel – Wiener Philharmoniker 2009 Gustavo Dudamel – Los Angeles Philharmonic Orchestra A cela il faut naturellement ajouter les Lieder avec piano, bien que la grande majorité de ses Lieder existe également en version orchestrale. 6, 1990 – Vladimir Fedosseyev – USSR Radio and Television Symphony Orchestra C’est un peu plus vivant avec plus d’atmosphère, on n’entend pas tous les détails. On a la beauté des phrasés (cordes ! L'œuvre est ensuite créée à Hambourg le 27 octobre 1893 sous le simple titre « Titan »[c], avec de nombreuses révisions et de nouvelles sections, y compris dans le deuxième mouvement Blumine[7]. 1987 Bernard Haitink – Berliner Philharmoniker Une lecture de la partition. Une lecture un peu distante et qui manque de rythme. Un grand final qui clôt cette symphonie. Le tout manque d’accents. Manque un bon de rebond, mais le trio est délicieusement viennois. 7,5, 2014 – Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester 1984 Riccardo Muti – Philadelphia Orchestra Les champs obligatoires sont indiqués avec, Etienne Barilier - Ruiz doit mourir - Galerie, Jean-Noel Von Der Weid - Le Flux et le fixe : peinture et musique, Jean-Noël von der Weid - Orgies et bacchanales, Mahler - Symphonie n°1 - Écoutes comparées - 1/4, Charles Koechlin par le quintette Syntonia, https://www.amazon.com/Mahler-Symphony-Bloch-Concerto-Grosso/dp/B000002SB0, En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. C’est très beau plastiquement, mais on n’est pas concerné, on est même pas loin de Ketelbey parfois… 7, 1979 – Herbert Kegel – Dresdner Philharmonie D’origine sépharade, il sera le plus jeune chef à diriger le MET en 1934, sur la recommandation de Walter et Furt. 1980 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks C’est imaginatif, vivant et très bien réalisé. Avec McCracken on entend un homme déchiré, alors qu’avec Paul Frey on entend un homme qui récite la liste de ses courses…. Un critique a écrit récemment qu’il ferait mieux de se cantonner au répertoire baroque, wrong again… 8,5. Voilà un chef qui avait quelque chose à dire, de la vie du relief, même si c’est parfois un peu trop tenu. Je voudrais rappeler la sortie de Das Klagende Lied par Kubelik. Quel beau son ! C’est ainsi que cette Première Symphonie a d’abord été conçue comme “ Poème symphonique en cinq mouvements”.Sa forme finale est classique, en 4 mouvements, mais la partition se distingue déjà par son originalité et un style propre à Mahler. 5. Grand manque d’animation. Presque 8′ cette fois… Très belle balance, le trio fait presque regretter le retour du scherzo, un peu d’accélération à la fin. On n’entend pas assez la grosse caisse. Il faudra bien que je fasse un point sur les orchestres japonais : on s’y perd… Bel orchestre, trompettes bien lointaines, la prise de son aussi d’ailleurs, sans grand intérêt. Tempo lent, vents très sonores, c’est joli, mais guère prenant. Tout sonne parfait, les dynamiques, l’allant général, seules les flûtes sont un peu désavantagées par la prise de son. 7,5, 1951 – Dimitri Mitropoulos – New York Philharmonic C’est lent, assez insipide, on sent que le chef se cherche, avec quelques intentions ici ou là… 6, 1969 – Jacha Horenstein – London symphony orchestra Le « lever » n’est pas dans le murmure mais en plein soleil. Version très légère, beaucoup d’ambiance, pas le chic de la version Leinsdorf, mais encore une fois quel orchestre et une superbe animation à la fin ! Les trompettes font un peu « au fond du couloir », très belle introduction, sonorités franches et élégantes, son très présent, un régal. C’est plutôt prosaïque et sans beaucoup d’animation. 8,5 Orchestre too much mellow? 6, 1994 – Yuri Simonov – Royal Philharmonic Orchestra Pas de reprise. Ca manque une peu de vie mais pas d’ambiance, prise de son un tout petit peu enveloppée ; une lecture plutôt esthétique que l’on peut trouver attachante, mais un peu lâche à mon goût. Lire la suite Clément D. Disquaire Fnac.com 22/10/2021 . 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra Troisième édition maison d’un orchestre après Haitink / Chicago et Jansons / Bavaroise. Compositeurs d'Europe | Études et travail | Stretta Music boutique de partitions en ligne. Giant Mozart Mcclure Version Plate Raising Cd-R. 8,5. Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus. 7,5, 1980 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks C’est amusant de constater que la réédition Naxos ne permet d’en écouter que de courts extraits, alors que l’édition Decca est disponible en entier surla même plateforme… La restitution de l’enregistrement présente quelques baisses de dynamique par moment, mais quel orchestre, c’est très habité. Les bruits frémissants de la Nature dans le premier mouvement, les valses rustiques et les inspirations de Lieder dans le second mouvement, le mélange du tragique et du burlesque ( thème de Frère Jacques ) dans le troisième et gigantisme du mouvement final ne pouvaient être écrits que par lui. Dans l'ensemble une version très recommendable si ce n'est le son vielli et l'orchestre moins que moyen. 8, 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra 8,5, 1977 – Klaus Tennstedt – London Philharmonic Orchestra 1975 Rafael Kubelik – London Symphony Orchestra (exemplaire trop mauvais) 1969 Eugene Ormandy – Philadelphia orchestra Encore un tempo lent, manque de rythme d’animation et de second degré. 7,5, 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra 1961 Paul Kletzki – Wiener Philharmoniker 6,5, 2008 – Valery Gergiev – London Symphony Orchestra 1995 Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam C’est bien joué, lent, sans grande nécessité. Δdocument.getElementById( "ak_js_1" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. 8, 1967 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks 7, 2003 – Gerard Schwarz – Royal Liverpool Philharmonic Orchestra Un 2e mouvement lent, très viennois, mais trop à mon goût – pour moi il doit avoir un peu « les pieds dans la galise ». Cette fois c’est vraiment trop lent : les lignes musicales ne tiennent presque plus. 2 passages m’ont fait sursauter dans votre page. 7,5, 2013 – Zubin Mehta – Australian World Orchestra Mais les ennuis commencent lorsque son nouveau roman rencontre le succès car Youssef n'a pas pu s'empêcher de s'inspirer des siens, pour le meilleur, et surtout pour le pire. Cordes chantantes, peut-être manquant de puissance, des rythmes marqués comme on aime dans Mahler. Youssef Salem, 45 ans, a toujours réussi à rater sa carrière d'écrivain. Perfectionniste et auteur de dix symphonies, il sera influencé par les thématiques existentielles de Franz Liszt et le lyrisme de Richard Wagner tout au long de sa carrière. This time he has the charges of the Concertgebouw Orchestra, who play as if they have the music in their blood, having recorded this work twice with Haitink for Philips during the stereo era, and the DG . 1954 Paul Kletzki – Israel Philharmonic Orchestra 2010 Sakari Oramo – Royal Stockholm Philharmonic Orchestra Top des meilleures compositions de Beethoven L'intégrale Beethoven tombe à point nommé pour célébrer le génie de l'immense compositeur. 7,5, 1954 – Bruno Walter – New York Philharmonic 1977 Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra Livraison gratuite à partir de 60 € Adresse e-mail. Ce chef avait une certaine répétition de « métronome », ça se sent légèrement dans quelques passages un peu statiques, mais on trouvera rarement mieux joué, dirigé et enregistré… 8,5, 1962 – Otmar Suitner – Dresden Staatskapelle 6,5, 1993 – James Judd – Florida Philharmonic Orchestra Comme il est mort en 1999, la date est forcément erronnée… Bravo à l’orchestre pour cette lecture très correcte. 1979 Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks Mahler indiqua que l’inspiration saisissante de ce morceau lui venait de la réminiscence d’une image du dessinateur autrichien Moritz von Schwind, familière à tous les enfants allemands et autrichiens, L’Enterrement du chasseur (Wie die Tiere den Jäger begraben), dans laquelle un cortège d’animaux aux attitudes faussement sombres portent à sa dernière demeure le chasseur, leur ennemi. Advanced: Daily Deals; Brand Outlet; Help & Contact; Sell; Watchlist Expand Watch List. Le summum est atteint, à mon avis, dans la 3ème, cet hymne à la Nature où la . En 138 opus officiels, Ludwig van Beethoven a marqué l'histoire de la. C’est très neutre et un peu confus, atone également… 5,5, 1954 – Rafael Kubelík – Wiener Philharmoniker Nombre de messages : 3135 Age : 39 Localisation : Paris Symphonie n o 4 en la majeur op. Orchestre somptueux, il accélère un peu avant la reprise. 9, 1958 – Adrian Boult – London Philharmonic Orchestra On peut ne pas aimer ce parti-pris de lenteur façon Celibidache ou la volonté de faire ressortir toutes les parties un peu secondaires, mais c’est captivant sinon transportant. Vous pouvez, « Le cercle des amis de Mahler était très ému ; le public, dans sa majorité fermé comme d'habitude à toute nouveauté formelle, réveillé brutalement d'une hibernation somnolente. On a entendu ce chef en concert et comme pour Eschenbach ou Dohnanyi, cela ne nous a pas fait grande impression…. C’est effectivement « immer gemächlich », mais il ne se passe rien, c’est moins intéressant que dix ans auparavant. 6,5, 2005 – Ken-Ichiro Kobayashi -Japan Philharmonic Orchestra « Ce n’est pas parce que l’on a consacré sa vie à compiler documents et témoignages sur Mahler que l’on est un bon critique (et inversement) ». Ce chef tchèque, assistant de Bernstein dans sa jeunesse est décédé en 1995. 1967 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks 10 ans après la version DG, il la refaisait pour Philips. Mais ici on succombe… 9, 1992 – Evgeni Svetlanov The Russian State Symphony Orchestra 7,5neu, 1988 – Zdenek Kosler – Slovakia Philharmonic Orchestra 6,5, 2010 – Myung Whun Chung – Seoul Philharmonic Orchestra Sophie Bourdais, Bertrand Dermoncourt et Christian Merlin élisent la version de référence de la Deuxième Symphonie « Résurrection » de Gustav Mahler. 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra 2011 Markus Stenz – Gürzenich-Orchester Köln 1942 Bruno Walter – New York Philharmonic Symphony Orchestra Tu trouveras ici un grand choix de partitions pour toute constellation orchestrale ! Beau début, beaux timbres, trompettes dans la salle, on n’entend pas vraiment la harpe, des bruits bizarres au n°9 (le chef chantera quasiment tout du long, tape du pied), mais c’est très prenant, un vrai chef. Prise de son catastrophique de ce live, saturations, timbres grossis. Les deux compositeurs, nés en Bohême en 1841 et 1890, ont en commun un très fort attachement à la musique de leur pays d'origine ainsi qu'une expérience américaine marquante - même si le motif du voyage diffère : Dvořák est directeur du conservatoire de New York de 1892 à 1895 (c'est à ce moment-là qu'il compose sa Symphonie du Nouveau Monde ainsi que son concerto pour . Ecoutez ou réécoutez l'émission ( Compte-rendu et . Bonjour, 8,5. Quelle vitalité, quel investissement de la partition, c’est si dommage que le transfert DG donne une image un peu étriquée, très aiguë et sans extrême grave. Tempo lent, timbres peu définis, orchestre moyen (cors), version très placide. 8,5, 1989 – Edo De Waart – Minnesota Orchestra 1969 Jacha Horenstein – London symphony orchestra C’est moins pire que ce que à quoi je m’attendais, indications dynamiques respectées à la lettre, mais ça ne passionne guère. Prise de son trafiquée, encore une version façon Franz Lehar. C’est un peu linéaire, l’image globale de l’orchestre est un peu « plan-plan ». On trouvera des éléments d’analyse de l’œuvre ici. Le public, dans une salle à moitié vide, siffle la symphonie. Sauf erreur, il te manque CM Giulini dans ta liste. Avec une ironie grinçante mais non moins tragique, elles reflètent l'âme d'un compositeur tourmenté, sans cesse en lutte avec la mort. Gustav Mahler. 9 (Kubelik avait pour une fois l’air d’être content du résultat..). De nouvelles corrections ont lieu pour la première à Weimar, le 3 juin 1894[2],[8]. 8,5, 2008 – Marin Alsop – Baltimore Symphony Orchestra Le chef d'orchestre Bruno Walter, ami et grand interprète de Mahler, a transcrit la symphonie pour piano à 4 mains[10]. 2010 Myung Whun Chung – Seoul Philharmonic Orchestra Vous aussi participez à la Tribune des critiques de disques !
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